voici la traduction.
Bill Kaulitz
Il rompt son silence:
Dans une interview exclusive de Vanity Fair, le chanteur de Tokio Hotel
expose sa situation actuelle vis à vis de son opération aux cordes
vocales.
Parler :
Il ne le peut pour l'instant, mais sa force d'expression remplace ses phrases. Cependant, Bill Kaulitz
chanteur du groupe Tokio Hotel, s'est confié à Vanity fair vis-à-vis de
son état de santé après son opération aux cordes vocales annoncée en ce
début de semaine.
Par e-mail :
Bill rapporte au niveau
de sa santé actuelle „J'ai été sous anesthésie générale, j'avais un
rail métallique dans la gorge, puis l'on a retiré à l'aide de petits
couteaux sur mes cordes vocales“.
Ce sentiment, tout le monde le
connaît. Je suis content que tout cela soit derrière moi. Mais j'ai
toujours autant peur pour ma voix et je me sens coupable vis-à-vis des
concerts qui ont été annulés.
Après l'opération, Bill ne
doit pas parler pendant 12jours consécutifs, « Ensuite je devrais faire
4 semaines de réeducation pour ma voix. Car oui, j'ai bien fait le bouc
sur ce coup là“ (je pense dans le sens, j'ai fait une boulette).
Avant
l'opération, le chanteur à donné à Vanity fair une interview détaillée.
Dedans, il parle par exemple de son temps à l'école, sur le fait de
grandir ensemble avec son frère jumeau et aussi à propos de ses
penchants pour les vêtements flashant : « Le bill maquillé est
certainement plus proche de mon côté naturel. Le bill démaquillé est
pour moi comme un déguisement. Si je n'avais pas été connu, cela aurait
été aussi mon style. Il me correspond totalement. »
Bill ne
s'étonne pas, que beaucoup de gens pensent qu'il est gay „La majorité
ont ce type de clichés qui veut que maquillage + longs cheveux font
complètement homosexuel. Je voulais simplement préciser qu'il n'en est
rien. Tout le monde peut faire ce qu'il lui plait. Cela ne doit en rien
déranger les autres.
La couverture de la nouvelle édition de
Vanity Fair à propos du sex avec les groupies surprend Bill : „Celà
m'écoeure un peu, chaques soirs laisser rentrer quelqu'un dans mon lit
que je ne connais pas. A ce stade, je ne l'ai pas encore fait. Je
n'aurai pas assez confiance pour laisser une fille juste pour une nuit,
dormir avec moi. La seule chose privée, lorsque l'on est en
déplacement, c'est notre chambre d'hôtel. Et là, il serait trop facile
de faire rentrer quelqu'un juste pour la nuit. Alors non, je serai
complètement septique.
L'interview entière pourra être trouvée dans la nouvelle édition de VANITY FAIR, à partir de jeudi en kiosque.